Ryszard
Jastrzêbski EWE, Monika Filipek Instytut £¹czenia Metali [Instytut de
l’Assemblage des Métaux] Les principes fondamentaux de l’apprentissage du penser inconscient à l'exemple de la formation des ingénieurs ILM et des soudeurs TKS
par les méthodes polonaises I.
Introduction II.
Le
penser inconscient utilisé dans l’instruction des ingénieurs par la méthode
TKS comme un élément signifiant en résolution des problèmes
technologiques du montage et du soudage. L’entreprise
Technolkonstrzêbski qui a préparé ce cours, afin de bien protéger
« son » savoir, l’a
placé dans l’inconscient des élèves. Un gradué savait très
bien profiter du savoir acquis et il savait quelle décision prendre dans
une situation donnée, mais en outre il n’était pas capable de répéter
le cours auquel il avait pris part. C’était un exemple classique de
cours de pensée inconsciente. Pour dispenser les cours on a invité de
grands soudeurs, en les priant de présenter toutes les difficultés
pratiques qu’ils rencontraient dans leur travail de soudeurs et les
moyens à utiliser pour les résoudre. Pour
cette présentation on leur a donné 3 heures. Les cours étaient
organisés de la manière suivante : un spécialiste attendait
la fin de la présentation du second spécialiste, puis il pouvait lui
poser des questions. Il s’est avéré que parmi les participants
à ce cours étaient aussi des spécialistes. De plus, les cours étaient
suivis par les employés de l’Institut de l’Assemblage des Méteaux et
par un professeur de l’école polytechnique. Parallèlement on a
organisé des cours pratiques, dirigés par les instructeurs de différents
centres. Ces cours étaient aussi suivis par nos instructeurs qui étaient
présents à chaque fois. On a invité, comme les
examinateurs (à la fin du cours), quelques ingénieurs et un
professeur du soudage. La majorité de questions pendant l’examen était
posées par les praticiens, et un professeur doué pour les mathématiques
a noté tous les problèmes et toutes les solutions pratiques.
Ensuite, l’Institut de l’Assemblage des Métaux a demandé au
professeur de diriger un cours de 3 heures concernant le matériel qui,
d’habitude à l’école polytechnique dure pendant 30 heures. On
a choisi des professeurs accomplissant
des fonctions dirigeantes à l’université, c’est à dire
ceux qui étaient capables de penser inconsciemment. En se préparant au
cours, les professeurs systématisaient le savoir pratique déjà
rencontré (pendant l’examen). Leurs cours étaient s’amélioraient
continuellement s’approchaient de plus en plus de la pratique. Les
employés de l‘Institut d l’Assemblage des Méteaux doués pour les
sciences exactes suivaient tous les cours et travaillaient sur la
construction des 10 axiomes précités. Sur la base de dix
axiomes, on a élaboré le cours de la formation du penser inconscient
pour les ingénieurs et pour les humanistes. Pendant ce cours on a répété
ces règles (axiomes) de différentes manières,
indépendemment des professeurs invités. Pour enseigner aux
participants la pensée inconsciente, il était nécessaire de les
« décongeler »[1]. On l’a réalisé ainsi : une offre
était construite telle manière que les spécialistes pensaient
qu’il allaient à un rendez-vous et non pasà la formation.
Lors du premier cours, le professeur a présenté les problèmes
connus, mais d’une manière différente de la manière
traditionelle et en-meme temps convenant à la
pensée inconsciente. Beaucoup furent soudainement convaincus de la
simplicité du problème posé et étaient surpris de ne pas avoir
trouvé eux-mêmes la solution. On a distribué au groupe
100 questions –réponses, en expliquant que ce matériel serait exigé
au cours d’un examen. Certaines personnes occupant de hauts postes ne
pouvaient se permettre d’échouer à cet examen et elles
commencaient à paniquer. Ainsi on voyait « un groupe de grand
stress », qui était si étroitement lié, qu’après
quelques années les membres de ce groupe restaient au contact. Dans un
groupe comme celui-ci, pendant 4 jours, on a fait des cours modifiés du
cycle précédent de la formation, de’une facon de mettre en lumière
la logique de dix règles travaillées et plusieurs fois répétées
à des exemples différents, puisés dans le grand nombre des cours
des ingénieurs-praticiens. Des participants en
trouvant des solutions aux problèmes posés par des praticiens
apprenaient que ces solutions, qui ont fourni du succès aux invités,
sont comparables celles données par eux-memes sur la bases du savoir déjà
acquis. En observant le niveau croissant des examens qui cloturent Le Cour
de coordination de controle des traveaux de soudage nous avons remarqué
le niveaux du cours ne dépend pas des invité, mais de 40 heures de cours
faites par nos emplyés et du controle de l’hierarchie des énoncés et
des sujets recommandé à l’invité. Nous avons introduit aussi
des cours singuliers de nos employés afin de compléter des sujets non
touchés par des invités de l’extérieur. Des cours théoriques,
ainsi que des cours pratiques ont répété des manières différentes
la logique de dix règles du soudage afin de les mettre au
inconscient et afin de faciliter la solution de problèmes pratiques
de l’industrie. Des personnes venant
d’autres villes, arrachées de leur environnement, avaient plus de succès
en apprenant du nouveaux matériel que des personnes habitantes au lieu du
cours. C’était à cause des discussions sur les sujets spécialistes,
ménées par les personnes venant du loin, des discussions qui aidaient
à égaliser le niveau du savoir. Du niveau de notre cours témoigne
le fait qu’après avoir fini notre cours on ne remarque pas de
différence entre des techniciens et des ingénieurs, car pour ces deux
groupes le moyen de présenter du savoir de soudage était nouveau. Des personnes faisant
leurs thèses de doctorats sur le soudage et participant aux
formations, mais n’étudiant pas beaucoup avaient de faibles résultats
pendant l’examen, bien qu’ils soyent favorisés par le professeurs, le
chef de la commision d’examen. Des solutions appliquées
sont connue dans les sciences sociales depuis longtemps, ce qui est
nouveau, c’est l’assemblage dans un lieu des méthodes emplyées pour
résoudre des problèmes divers et c’est l’application pratique
pour résoudre des problèmes dans la technologie du soudage. Au-dessous, en
s’appuyant du savoir principal des sciences universitaires, nous allons
essayer d’expliquer le sens des faits entrepris
pour travailler et appliquer de la méthode de l’Institut de
l’Assemblage des Méteaux, qui a pour but l’accélération de la
formation pratique des ingénieurs et du raccourcissement du temps nécessaire
de la pratique professionelle, rendant possible le succès dans
l’industrie. III.
Des
modèles de transformer des informations par l’homme. On sait depuis longtemps
que les spécialistes de haute qualité profitent beaucoup du penser
inconscient, qui est un outil très fort permettant de transformer
très vite le grand nombre des informations. C’est pourquoi des
hommes programmant des machines industrielles qui ne peuvent pas profiter
des algorithmes de la transformation inconsciente ne sont pas capables de
créer la machine plus intelligente qu’un soudeur bien formé. Dans l’Institut de
l’Assemblage des Méteaux on a essayé d’adapter le savoir sur le
penser inconscient pour assembler le savoir pratique et pour apprendre des
soudeurs à faire des soudures précises et de haute qualité. Les
derniers entreprises en collaboration avec
l’Académie de mines à Cracovie ont pour but d’appliquer
ces résultats pour programmer la machine intelligente d’industrie,
pilotée par l’analyse de l’image et aussi d’effectuer un tournant
à l’informatique afin de créer le système meilleur que
les réseaux neuronales, aujourd’hui appliquées. Des informations reçues
des sens : de la vue, de l’ouïe et du toucher kinésthésique
(le mécanisme de l’équilibre, situé dans l’oreille interne désignant
la position des extrémités à la base de la tension des muscles)
d’introduction sont automatiquement transformées au niveau inconscient
ou elles peuvent être dirigées à la transformation logique
inconsciente selon la logique auparavent apprise, ou bien dirigées
à la transformation consciente.
Dessin.1 Niveaux de transformation des informations.
Le
niveau inconscient de la transformation automatique des informations
change l’image affouillée, résultant de l’optique, du bord du bain
de fusion à l’image nette. Cela permet de réduire la mémoire nécessaire
à la transformation suivante de l’information visuelle. Le niveau
inconscient transforme si rapidement des informations que l’homme
n’est pas capable d’enregistrer des algorithmes de transformation et
ce qui est à enregistrer n’est que le résultat de cette
transformation. Dans le cas du soudeur,
les muscles sont pilotés justement par ce niveau, sans nécessité
d’ingérance de la pensée inconsciente. Le passage par la pensée
consciente ralentit le processus de transformation qui peut provoquer les
défauts de soudage. La méthode TKS élaborée par l’Institut de
l’Assemblage des Méteaux rend possible l’apprentissage par la pensée
inconsciente pour les mathématiciens, ainsi que pour les humanistes. Les mathématiciens
apprennent en répétant la logique des algorithmes de la pensée
consciente au niveau conscient, les humanistes de leur côté aprennent en
observant la logique des événements physiques qui ont lieu au cours des
exercices du soudage. Pour cette méthode on a profité de la synesthésie,
c’est- à- dire du passage des stimulus reçus du sens du toucher
kinésthésique sur le sens de la vue et de l’ouïe pendant la
conduite des mains du soudeur par le moniteur. Les niveaux 1 et 2
profitent des mêmes réservoires de la mémoire ainsi le développement
excessif du niveau 1 se fait au détriment du niveau 2. Jusqu’à certain
moment, cela n’a pas d’influence sur l’effectivité de la pensée,
cependant le dépassement de la charge de la mémoire exige une sélection
permettant une pensée effective. Les deux niveaux de la régulation
ne suffisent pas à expliquer le processus du comportement conscient
opportun qui n’est propre qu’aux hommes. Seulement le troisième
niveau, le niveau de la régulation d’orientation et de programmation (O-P),
qui s’appuie sur les processus de transformation des informations et de
la pensée, permet de créer des notions, du savoir, des avis, et des
opinions, des images du monde et de soi-même, des visions, des
projets et des programmes d’action, etc., il explique le plus
profondemment les mécanismes de la régulation du comportement de l’
homme. Ce niveau a des capacités
de transformations lentes et limitées. C’est pourquoi le développement
des niveaux 1 et 2 et la sélection logique des informations à ces
niveaux permettant au niveau 3 de transformer seulement le nombre nécessaire
des informations déjà changées, sont si importants dans l’essor
de l’intelligence humaine. Bien sur, il est possible
de piloter de telle manière qu’à ce niveau on puisse
diriger des informations provenant directement des récepteurs des modalités
particulières (p.ex. en sentant de grandes émotions). Diriger pour transformer
un trop grand nombre d’informations donne une impression d’hébétude. Des personnes
remarquablement douées se caractérisent par leur grande capacité de sélection
des informations. IV.
Moyens
d’analyse des stimulus. En
reconnaissant des images et en coordonnant des mouvements avec
l’observation on peut distinguer les modèles informatiques
suivantes : -
la
décompression des images (les mathématiciens) -
les
réseaux neuronales (les humanistes) -
la
comparaison avec le prototype (les meilleurs spécialistes, les mathématiciens,
les humanistes) Dans un article publié
par « Soudage Techniques Connexes », nous avons donné des références
psychologiques de ces trois moyens de transformation des information par
l’homme. Ø
Le premier moyen, appliqué par l’ordinateur pour
distinguer les lettres, est aussi exploité par les mathématiciens pour
analyser au niveau conscient. Il consiste à découper l’image en
petits éléments et puis à les analyser. Ø
Le deuxième moyen, connu en informatique comme les réseaux
neuronales, en général est appliqué par les humanistes pour apprendre
le penser inconscient au cours de l’observation du processus de souder
ou de parler. Ø
Le troisième, le plus rapide, consiste
à comparer la réalité environnante avec les prototypes connus ou
avec le déroulement des évenements connus. Ce moyen donne de grandes espérances
en informatique, il a permis d’accélerer les formations par la méthode
TKS. Le mouvement de la main
du soudeur est le résultat d’une pensée précise au niveau inconscient.
Puisqu’une pensée rapide
exige le profit des prototypes et l’homme n’a pas pu en hériter car
fondre le métal n’est pas l’activité naturelle de l’homme, il
profite des prototypes de la vie quitidienne : de l’eau bouillante,
d’une flaque d’eau pendant la pluie ou d’un courant d’eau coulant
du haut en bas. Des personnes douées
pour les sciences humaines peuvent apprendre à plus grand degré
pendant les cours pratiques, pendant l’observation de traveaux pratiques. Des personnes douées
pour les sciences exactes aprennent par répétition des activités au
niveau conscient p.ex. par l’apprentissage de la grammaire, des mathématiques
et leurs applications en physique. Grâce à ces créations
le comportement de l’homme peut devenir opportun. Tous ces processus dans
l’organisme se produisent parallèlement et sont mutuellement
joints (c.f flèches sur le dessin).
V.
La
méthodique des recherches. Dans le but de suivre la
transformation inconsciente des informations, on a profité de l’événement
de la synesthésie et de l’analogie entre le soudage et le fait de
parler : Ø
un soudeur au
niveau conscient pense quelle soudure il doit faire et il pense ce qu’il
veut dire, Ø
au niveau inconscient un soudeur choisit des
mouvements et des mots, en prenant en considération leurs significations
autres, convenables pour décrire le
penser. Ø
Au niveau automatique un soudeur pilote des muscles
des mains et des muscles pilotant l’articulation des sons. C’est pourquoi on a
entrepris l’analyse du vocabulaire du soudage dans les langues différentes.
Cette analyse a montré que chaque soudeur voit la bain de fusion avec des
bord bien nets. Les modèles étaient récréés avec l’aide des
plasticiens, par des ingénieurs, qui ont appris à souder. Un autre moyen
d’analyse de la transformation inconsciente des informations par un
soudeur, c’est un fait que des personnes remarquablement douées pour
les mathématiques ne se convertissent jamis absolument à la
transformation inconsciente. Il s’est avéré
qu’il existe la possibilité d’enseigner le soudage à des ingémieurs
et d’arracher de leur inconscient la logique de transformation des
informations par un soudeur pilotant un processus de fonte du métal. Dans le cas des ingénieurs,
il fallait apprendre la pratique aux personnes douées pour les sciences
exactes, qui préparent les règles au niveau conscient. Une autre méthode encore
était de poser aux praticiens des problèmes et analyser les réponses
reçues. Pour assembler des données, il fallait utiliser le savoir des
physiciens, les connaissances en physique des professeurs du soudage étant
insuffisante pour résoudre ces problèmes.
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